Journée mondiale du bien-être by Les Menus Services

Journée Mondiale du bien-être.

Dernière modification le 26 avril 2024

Le 12 juin, nous célébrons la Journée Mondiale du bien-être. Le bien-être est souvent associé à la satisfaction des besoins du corps et de l’esprit.  L’occasion pour rappeler l’importance de prendre soin au quotidien de notre santé physique et mentale, par le sport, la nutrition, le sommeil et la relaxation…

Les objectifs de la Journée Mondiale du bien-être.

Les principaux objectifs de cette journée sont les suivants :

  • reconnaître la valeur de nos vies ;
  • faire une pause et réfléchir, ne serait-ce qu’un jour dans l’année ;
  • se libérer du stress de la vie urbaine quotidienne et des mauvaises habitudes ;
  • faire la paix avec soi-même ;
  • sensibiliser à la nécessité de bien vivre et accroître la motivation, non seulement pour aujourd’hui, mais aussi pour les 364 jours restants de l’année.

La nutrition et le bien-être.

L’équilibre alimentaire.

L’une des meilleures façons de pratiquer le bien-être est de manger des aliments sains qui alimentent votre esprit et votre corps. La Journée Mondiale du bien-être encourage la consommation d’aliments naturels et biologiques, exempts de pesticides et de produits chimiques dangereux.

L’équilibre alimentaire ne se construit pas sur un repas. Bien se nourrir, c’est privilégier une alimentation diversifiée et équilibrée. Il n’y a pas d’aliments interdits : il faut consommer de tout, mais en quantités adaptées à son âge, à son état de santé et à son activité physique.

Les produits sucrés.

Le sucre est addictif dans la mesure où il est ancré dans nos habitudes alimentaires. On le retrouve dans la majorité des produits transformés que nous achetons au supermarché. Il est donc difficile de ne pas dépasser la dose journalière de 100 gr recommandée par les autorités de santé.

En effet, l’INSERM recommande de réduire sa consommation de sucre pour privilégier un bien-être sur le long terme.

Mathilde Touvier, chercheuse Inserm en épidémiologie nutritionnelle, informe que dépasser la dose journalière de 100 gr de sucre engendre des problèmes de surpoids, de tension artérielle, et de maladies cardiovasculaires. Par conséquent, on recommande de veiller à sa consommation de sucre, en surveillant notamment la composition nutritionnelle des produits alimentaires.

   

La consommation d’alcool.

Nous associons l’alcool à des moments de détente et de convivialité.

Cependant, la consommation d’alcool est la première cause d’hospitalisation en France, chez les jeunes comme chez les plus âgés. En outre, même une consommation en faible quantité représente déjà un facteur de risque, en particulier chez les femmes qui ont une plus grande vulnérabilité biologique vis-à-vis de l’alcool.  Ainsi, contrairement aux croyances populaires, les verres de vin au cours d’un repas où les digestifs en fin de repas, ne sont pas sans conséquence pour l’organisme.

Enfin, la consommation d’alcool entraîne parfois une sévère dépendance, de l’ordre de la maladie chronique.

Le bien-être et l’activité physique.    

Les bienfaits du sport sur le moral.                            

  • l’hormone du bonheur : l’endorphine est une hormone sécrétée naturellement par le corps, d’où sa qualification d’« hormone du bonheur ». En réalisant une activité physique pendant au moins 30 à 40 minutes en endurance moyenne, le corps va libérer de l’endorphine qui agira durant plusieurs heures, provoquant une sensation de bien-être et de plaisir ;
  • contrôle du stress ;
  • une meilleure qualité de sommeil : l’activité physique permet de sécréter de la sérotonine (qui facilite l’endormissement) et réduire vos tensions. Notre sommeil sera donc naturellement de meilleure qualité. Les cycles de sommeil sont plus réguliers et moins susceptibles d’être interrompus ;
  • des capacités intellectuelles boostées : plus on bouge, plus on améliore la circulation du sang et de l’oxygène dans votre organisme.

Les bienfaits du sport sur le corps humain.

  • une énergie retrouvée : l’activité physique améliore la circulation sanguine et limite la sollicitation du cœur : celui-ci a des besoins en oxygène moindre et la fréquence cardiaque (que ce soit pendant l’effort ou au repos) diminue durablement.
  • une plus belle peau : durant l’effort physique, le corps régule sa température en transpirant, la sueur s’évaporant à travers les pores de notre peau.
  • une meilleure hygiène de vie : les bénéfices du sport s’observent également dans notre rythme de vie.

L’importance de l’activité physique dans le traitement des maladies chroniques.

Aujourd’hui, un français sur quatre souffre d’une maladie chronique, trois sur quatre après 65 ans. Ces maladies limitent grandement la qualité de vie et l’autonomie. On retrouve parmi les plus fréquentes le diabète, les pathologies cardiovasculaires et les cancers.

Quatre facteurs de risques favorisent le développement d’une maladie chronique : le tabac, l’alcool, une mauvaise alimentation et l’inactivité physique. L’impact de l’activité physique dans le développement et le traitement des maladies chroniques a permis de faire réfléchir à la meilleure façon d’intégrer l’activité physique dans le programme thérapeutique des patients. En février 2019, l’INSERM publie les recommandations suivantes :

  • l’activité physique doit être systématiquement prescrite dans le parcours de soin ;
  • les activités doivent être adaptées selon la pathologie du patient et ses caractéristiques physiques et psychologiques.

L’importance de notre environnement dans notre bien-être

La qualité de notre environnement a une incidence directe sur notre santé et notre bien-être. Un environnement sain est une source de satisfaction. Il améliore le bien-être mental, et permet à chacun de se remettre du stress de la vie quotidienne et de réaliser une activité physique.

Les apports de la nature sont donc multiples et contribuent directement à :

  • renforcer la qualité de l’air : par l’enfermement du carbone et l’absorption de polluants,
  • favoriser la régulation thermique ;
  • préserver la biodiversité : par la mise en place de continuités écologiques et la reconstitution de milieux naturels ;
  • favoriser l’écoulement des eaux et la protection des sols ;
  • améliorer la santé des citoyens : par la réduction de l’exposition aux pollutions de l’air, des symptômes cardio-vasculaires, des troubles respiratoires, du stress, la limitation des nuisances sonores et les bénéfices liés à l’activité physique et sportive induites.

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